Entreprendre en France : avantages et inconvénients

Le bruit court chez certaines catégories de personnes. Entreprendre en France revêt des avantages mais aussi beaucoup plus d’inconvénients. Voir même que cela serait compliqué, que les charges et taxes seraient exagérées. Alors comment faire ?

Quels freins ?

La comptabilité est compliquée, les établissements financiers frileux et le système inadapté. Certains disent qu’il y a trop de dossiers à préparer. Certes, ce n’est pas le paradis mais il faut quand même admettre que partout où l’on exerce, la création d’entreprise ne se fait pas les bras croisés. Vous avez l’idée, reste à savoir comment la déployer ?

Les aides sont nombreuses pour entreprendre en France

Pour aller droit vers le but, en France on peut compter aux environs de 1 000 incubateurs. Ils opèrent dans presque tous les domaines comme la technologie et le tourisme. Les réseaux privés qui se proposent d’aider, d’accompagner et de financer rivalisent d’attraits. Les sièges sont équitablement répartis à travers tous les départements.

En plus, Internet se charge de la décentralisation de leurs services, lesquels sont gratuits. L’ère de l’exode rural est dépassée. Vous n’êtes pas obligé de rejoindre Paris pour entreprendre en France. Vous n’avez qu’à solliciter ces entités privées pour bénéficier entre autres de prêts d’honneur, de prêts à taux 0 ou de fonds spécialisés pour les TPE-PME.

Si l’on se tourne vers les entités publiques, la Banque Publique d’Investissement couvre le marché de l’entrepreneuriat

  • Avec ses prêts à taux préférentiels.
  • Ses divers investissements et aides.

Les réseaux publics tels que les chambres des métiers et la chambre de commerce sont à votre disposition. Ceux qui souhaitent une assistance particulière peuvent toujours solliciter un avocat ou un comptable. Pour vous permettre de mesurer le coût d’une prestation d’externalisation de votre comptabilité et/ou juridique.

Les propositions de services abondent sur le marché français, n’hésitez pas à comparer les prix. Les zones dépourvues d’impôts sur les sociétés ou sans CET qui ne requièrent que le minimum de charges sociales. Les zones franches, ZRR et ZRU figurent parmi les options en vue. Bref, les aides et subventions des futurs entrepreneurs français sont multiples. Le seul bémol est que parfois, on ne s’y retrouve plus.

Se faire aider pour entreprendre en France

Si la comptabilité est compliquée, les formations organisées à votre intérêt vous apprendront à examiner vos bilans, à suivre les grandes lignes comptables de votre clientèle. Mais également de vos concurrents afin que vous puissiez avoir une idée de votre position dans le contexte de l’entrepreneuriat. Vous connaîtrez en détail tous les postes de votre entreprise, et la liste de ce que vous apprendrez n’est pas exhaustive.

La France figure parmi les rares pays où l’auto-entreprenariat existe. Ce concept intéresse ceux qui voudront essayer le marché avant de se lancer. La création d’une auto-entreprise ne nécessite ni coût d’installation, ni frais comptable. Les charges sont en fonction du chiffre d’affaires réalisé. Donc s’il n’y a pas de chiffre d’affaires, alors il n’y a pas de charge.

Autres organismes pour entreprendre en France

Enfin, avec le Pôle Emploi, l’exonération des charges est tout à fait possible. Il y a mieux pour les chômeurs pleins d’initiative : ils ont le droit d’entreprendre tout en recevant leurs allocations au chômage. Ils bénéficient d’un capital chômage à titre d’appui à leur activité. Les contrats d’appui qui leur sont destinés sont variés. Parmi ceux-ci, les ARCE, ACCRE et NACRE.

Les pouvoirs publics ne vous mettront pas les bâtons dans les roues si vous projetez d’élargir l’envergure de votre entreprise à l’étranger. Votre interlocuteur sera dans ce cas Ubifrance, mission économique des ambassades de France. Institution présente dans tous les pays où la France est représentée.

Pour plus d’informations n’hésitez pas à nous contacter !